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Écologies et musiques actuelles, par le SMA et la Fedelima

En écho à la prise de con­science général­isée face à l’urgence du réchauf­fe­ment cli­ma­tique, les adhérents du SMA (Syn­di­cat des musiques actuelles) et de la FEDELIMA (Fédéra­tion des lieux de musiques actuelles) inter­ro­gent depuis plusieurs années leurs pra­tiques quo­ti­di­ennes au sein de leurs métiers.
Après une phase de sen­si­bil­i­sa­tion et d’information des pro­fes­sion­nels des musiques actuelles menée l’année dernière avec The Shift Project par le biais d’un cycle de for­ma­tion autour de la décar­bon­a­tion du secteur, ces ren­con­tres nationales des 12 et 13 avril ont pour ambi­tion d’enclencher une mise en marche de l’ensemble de la fil­ière.
Pour tra­vailler ces enjeux, ten­ter d’y réfléchir col­lec­tive­ment, partager des ini­tia­tives et imag­in­er des pistes d’actions col­lec­tives sur la tran­si­tion écologique des métiers du spec­ta­cle vivant, la FEDELIMA, le SMA et la Gaîté Lyrique pro­posent un pre­mier temps de ren­con­tres nationales.

Conçues pour favoris­er le partage d’expériences et de con­nais­sances ain­si que la réflex­ion en intel­li­gence col­lec­tive, ces ren­con­tres traiteront des enjeux recon­nus comme majeurs pour notre secteur comme l’alimentation, la maîtrise de l’énergie, la mobil­ité du pub­lic mais aus­si des artistes, les usages numériques ou plus glob­ale­ment l’éco-conception des tournées. La pre­mière par­tie de ces ren­con­tres sera dédiée à la notion de coopéra­tion entre col­lec­tifs et réseaux et à un état des lieux des démarch­es col­lec­tives entre­pris­es dans le secteur de la musique. Aman­dine Saumon­neau, coor­di­na­trice de Zone Franche, témoign­era donc de la démarche lancée par le réseau : la (mini) Con­ven­tion Cli­mat.

La sec­onde par­tie de ces journées priv­ilégiera le car­ac­tère par­tic­i­patif avec des ate­liers de pro­duc­tion col­lec­tive.

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