Peut-on rêver en 2019 d’une unification et d’un apaisement du monde Arabe ? Peut-on rêver que la musique transmette une culture arabo-occidentale moderne et unie ?
Pour la 1ère fois dans sa carrière, Fawzy Al-Aiedy, originaire d’Irak, interprète des chansons du Moyen-Orient (Irak, Syrie, Liban, Jordanie, Égypte) et du Maghreb (Maroc, Tunisie, Algérie), pimentées par ses propres mélodies.
Fawzy (oud, chant) s’est entouré de Vincent Boniface (accordéon, clarinette, cornemuses, bombarde, flûte), Amin Al-Aiedy (bassiste, arrangeur), Adrien Al-Aiedy — alias Adrien Drums (batterie et électronique sur des sons du beatmaker Gstn).
Faisant échos aux récents événements qui agitent le monde arabe, tragiques et plein d’espoirs, la déesse Ishtar, figure majeure et fascinante de la mythologie mésopotamienne, a inspiré et guidé les musiciens. Symbole de la dualité et des contraires, Ishtar était considérée comme la déesse de l’amour mais aussi, paradoxalement, celle de la guerre.
Pour la 1ère fois dans sa carrière, Fawzy Al-Aiedy, originaire d’Irak, interprète des chansons du Moyen-Orient (Irak, Syrie, Liban, Jordanie, Égypte) et du Maghreb (Maroc, Tunisie, Algérie), pimentées par ses propres mélodies.
Fawzy (oud, chant) s’est entouré de Vincent Boniface (accordéon, clarinette, cornemuses, bombarde, flûte), Amin Al-Aiedy (bassiste, arrangeur), Adrien Al-Aiedy — alias Adrien Drums (batterie et électronique sur des sons du beatmaker Gstn).
Faisant échos aux récents événements qui agitent le monde arabe, tragiques et plein d’espoirs, la déesse Ishtar, figure majeure et fascinante de la mythologie mésopotamienne, a inspiré et guidé les musiciens. Symbole de la dualité et des contraires, Ishtar était considérée comme la déesse de l’amour mais aussi, paradoxalement, celle de la guerre.