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ASSOCIATION PALAPAPAI PROD

Nom : ASSOCIATION PALAPAPAI PROD

Pro­duc­tion de spec­ta­cles / Pro­duc­tion discographique

36 rue Paul Lemesle

45000 Orléans

45 — Loiret, Cen­tre-Val-de-Loire

France

Télé­phone : 06 61 16 55 34

Email : palapapaiprod@gmail.com

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Pala­pa­paï Prod sou­tien la créa­tion d’artistes musicien.nes issu·e·s des musiques du monde, en les accom­pa­g­nant dans la réal­i­sa­tion de leurs pro­jets artis­tiques. La struc­ture développe notam­ment les pro­jets d’Anita Farmine, artiste chanteuse, autrice, com­positrice fran­co-irani­enne ; de Bassey Ebong, artiste chanteur, auteur-com­pos­i­teur Nigérien et celui du col­lec­tif « Mile­na, Vin­cent Viala et Amrat Hus­sein » dans un pro­jet fran­co-indi­en piano tablas. Ani­ta Farmine Ani­ta Farmine est née en Iran à l’aube de la révo­lu­tion, ce n’est qu’après un exil en Algérie puis en France où elle réside que son envie de chanter a vu le jour. Son pre­mier album et spec­ta­cle avait pour titre From Above et présen­tait à la fois le ver­sant pop/folk issu de ses influ­ences occi­den­tales et le ver­sant world en inté­grant les per­cus­sions irani­ennes et la langue per­sane de manière inédite, en s’éloignant de la tra­di­tion sans pour autant renon­cer à la pro­fondeur ni à la vir­tu­osité. Le suiv­ant, Next pre­nait un virage résol­u­ment world en revenant à des com­po­si­tions plus naïves et en inclu­ant des morceaux tra­di­tion­nels per­sans et turcs azéris, mod­ernisés par une approche rad­i­cale et des sonorités emprun­tant tout autant au jazz qu’aux musiques élec­tron­iques ou tra­di­tion­nelles. Sea­sons s’inscrit dans la con­ti­nu­ité de cette volon­té de racon­ter le monde à tra­vers les yeux d’une femme en exil, mais égale­ment citoyenne d’un monde finale­ment lui aus­si tour­men­té. Ani­ta chantera là en per­san, mais aus­si en français. Les per­cus­sions, les influ­ences ori­en­tales mais aus­si africaines ain­si que les instru­ments tra­di­tion­nels, tou­jours mêlés aux instru­ments occi­den­taux (gui­tares, bat­terie, claviers) seront mis en avant. Les saisons évo­quées dans la musique d’Anita sont à la fois nos qua­tre saisons, mais aus­si les saisons sèch­es et des pluies des pays du sud, les saisons de la vie, avec ses moments de fête et ses drames. Elle chante de sa voix chaude et col­orée les douleurs de la vie, la dif­fi­culté d’être femme sur des mélodies fraich­es aux rythmes per­cu­tants. Bassey Ebong Chanteur, auteur et com­pos­i­teur, ce petit-fils de pas­teur, né au Nigéria, s’est nour­ri de Gospel, de chants tra­di­tion­nels sud-africains autant que de jazz, de pop et de musique clas­sique. Sa voix sin­gulière au tim­bre clair fait réson­ner ses empreintes africaines et sa cul­ture occi­den­tale dans un style afro-pop où les chœurs et les har­monies de son enfance trou­vent une place de choix. À tra­vers des bal­lades intens­es, des titres ryth­més col­orés d’afrobeat et de soul, Bassey se joue des codes et assume un style métis­sé. Lau­réat de plusieurs con­cours (Fal­l­en­fest à La Cigale en 2016, con­cours RTL Mon pre­mier grand stu­dio en 2017 et le trem­plin Jeunes Tal­ents du Sziget Fes­ti­val en 2019), Bassey mène sa car­rière au sein de plusieurs for­ma­tions en duo, quin­tette et tourne actuelle­ment avec le pro­jet Bassey & The Gospel Team. Mile­na Mile­na c’est une ren­con­tre à qua­tre mains entre les tablas, piano per­cus­sif du nord de l’Inde d’Am­rat Hus­sain, et le piano mélodique, per­cus­sif et har­monique de Vin­cent Viala. Entre Jazz européen et musique indi­enne, explo­rant leurs com­po­si­tions orig­i­nales, Amrat et Vin­cent s’a­musent, se par­lent et s’en­t­hou­si­as­ment de l’heureux mariage des tim­bres, des rythmes et des sonorités des tablas et du piano dans une joie com­mu­nica­tive avec le pub­lic. En  célébrant l’o­ral­ité comme la mère de toutes les musiques, l’art de com­pos­er dans et avec l’in­stant, les deux musi­ciens se sur­pren­nent par l’art du jeu ( ne dit-on pas jouer de la musique?). Dès lors, redé­cou­vrant son instru­ment dans un con­texte dif­férent, cha­cun des musi­ciens ques­tionne sa pra­tique musi­cale, pour mieux revenir à l’essence de sa musique, l’im­pro­vi­sa­tion.  Comme le fris­son qui par­court l’échine du musi­cien quand il frappe ou caresse la  peau de son instru­ment ou plaquant un accord inat­ten­du qui  sus­pend une salle en ape­san­teur, c’est ici et main­tenant,  dans la musique impro­visée  que le duo prend tout son sens en faisant de Mile­na une jolie pépite musi­cale à décou­vrir ou à faire décou­vrir sans délai…